Au théâtre, comme en analyse, il arrive que l’on risque parfois de manquer de souffle. Le comédien, prêtant l’oreille vers la niche du souffleur, délivre son texte de l’oubli ; donnant réson à l’inouï d’une parole, l’analyste, quant à lui, en délivre l’insu pris dans un discours. Deux expériences du corps parlant.